La ville d'Emeishan doit son nom principalement au mont Emei, qui est l'une des quatre montagnes sacrées bouddhiques. Elle demeurait, à la base, un village moldu ; jusqu'à ce qu'une chasse aux sorcières ait lieu, au printemps 1560. Les familles fondatrices ont alors créé une barrière magique. C'est ainsi que la ville fut construite, en l'hiver 1560. Grâce à de puissants sortilèges, l'Emeishan magique est caché aux yeux des moldus.
Cette ville a gardé son charme d'antan. Les bâtiments n'ont rien à voir avec ceux plus modernes des grandes villes, mais c'est probablement pour cela qu'elle est restée l'un des plus beaux endroits magiques de Chine. C'est ici que résident les professeurs et les membres du personnel ainsi que les étudiants désirant ne pas dormir dans les dortoirs. On y retrouve également tout ce dont les élèves de Wuxing ont besoin pour leurs études.
Les Sorciers utilisent le Wuzhu, c'est une ancienne monnaie moldu conservé par les sorciers. C'est une pièce ronde avec un trou au milieu en forme de carré.
Quartier fleuri, où le gazon parfaitement vert demeure uniforme à chaque coin de rue ; où les avenues sont désertes à heures tardives, et qu'aucun chewing-gum ne profane les trottoirs. Seuls, les pétales roses des amandiers ou blanches des pruniers, ornent à leur saison, les pavés de ce quartier calme et prospère.
Quartier où les ruelles restent illuminées jusqu'au petit matin, où des sons divers résonnent au travers des petites allées, grâce aux artistes de rues qui démontrent leurs talents aux passants. Boutiques, pubs et restaurants rassemblent les jeunes, faisant de ce quartier ; un lieu vivant et branché.
Quartier où les ruelles demeurent plus étroites, où les réverbères cillent, sans jamais trouver l'obscurité ; révélant des échoppes où la magie noire naît dans les arrières boutique. Lieux où les meurtres de 1977 ont été commis ; où la débauche s'est doucement installée, pour ne pas altérer la vie des deux autres quartiers.
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EMEISHAN AGITÉ ☾ fin mars 2018 Emeishan s'éveille, lentement, sous des nouvelles terrifiantes. Certains se restaurent d'un petit déjeuner copieux devant le China daily wizard, d'autres partent au travail ; et les écriteaux rouge sang perdent leur couleur, pour laisser de nouveau les murs grisâtres du quartier. Et dans les ruelles, s'élèvent des voix basses et des regards furtifs vers les concernés. Lire la suite ?